La licence Far Cry revient en force et nous propose un nouvel épisode se déroulant à l’âge de pierre.

« Bushmi Urus » (Le monde d’Oros)

A la découverte d'Oros
Plus d’un an après la sortie de Far Cry 4, Ubisoft Montréal remet le couvert avec un nouvel épisode de la licence initiée par Crytek. Far Cry Primal se déroule à l’âge de pierre, un environnement encore jusque-là mal exploité dans les jeux vidéo. Il y a donc beaucoup de matière sur le sujet. Annoncé en octobre dernier, c’est 5 mois plus tard que Far Cry Primal voit le jour sans aucun retard. Le jeu était même disponible en boutique depuis le 19 février.

Se déroulant sur la magnifique contrée d’Oros en l’an 10000 avant Jésus Christ, Far Cry Primal fait la part belle aux références mésolithiques.

Après un Far Cry 4 sympa et son extension, la Vallée des Yétis, introduisant de nouveaux concepts, mais sans réelles grosses nouveautés, on se demande si l’Age préhistorique a donné plus d’idées à Ubisoft ou si au contraire l’équipe s’est reposée sur ses acquis.

« Baw kwala Takkar ! » (Salut Takkar)

Takkar et ses amis
Le jeu débute sur les chapeaux de roue à travers une belle cinématique. Contrairement aux autres épisodes, ici aucun méchant emblématique n’est présenté. On y voit Takkar et ses amis chassant le Mammouth sur les plaines d’Oros. C’est en voulant dépecer l’animal qu’ils se font attaqué par un tigre à dents-de-sabre, l’animal présent sous toutes ses formes dans la communication d’Ubisoft. Les amis de Takkar n’en sortiront pas vivants et il devra par conséquent apprendre à survivre par lui-même. Membre de la tribu des Wenja, ce n’est que suite à sa rencontre avec Sayla que Takkar devra guider son peuple contre la menace des Udam et des Izila.

Pour l’histoire avec de multiples rebondissements, il faudra repasser. Mais en même temps il ne devait pas se passer grand-chose à l’époque. Je regrette pour ma part qu’Ubisoft n’est pas joué plus la carte de la survie (nous obliger à manger à certains moments, nourriture qui passerai obligatoirement par la chasse, etc.). Dans Far Cry 2, le héros était atteint de malaria et on devait se soigner régulièrement, dommage que ce concept n’est pas été poussé dans Far Cry Primal.

Une perte inestimable !
Ce qui frappe dans cette introduction, c’est le langage employé par les différents personnages. Et pour cause il a été inventé par un couple de linguistes : Brenna Reinhart Byrd et Andrew Byrd, tous deux travaillant dans des universités Américaines. Un travail de deux ans leur a permis d’arriver à ce résultat qui est vraiment impressionnant (on imagine donc que les prémices de Far Cry Primal ont commencé alors que Far Cry 4 était tout juste finalisé). Pas moins de 1200 mots uniques ont été créés pour le jeu et on imagine que la tâche n’était pas facile autant pour la phonétique que pour l’écriture de phrases.

Pour les heureux possesseurs de l’édition collector de Far Cry Primal, je vous invite à consulter le carnet linguistique présent. Vous pourrez constater également qu’il existe en réalité deux langues parlées : celles des Wenja (et des Udam) et celle des Izila. N’hésitez pas également à consulter cette interview intéressante réalisé par JV.com.

C’est donc un travail colossal que les deux linguistes ont entrepris. On ne peut que saluer ce genre d’initiative et on sent que le studio a pris le temps de réfléchir au background afin de proposer la meilleure expérience possible. Pour autant cela suffit-il à apporter un souffle nouveau à une licence qui commence à montrer ses premières redondances ?

« U damsha kwarwi ! U damsha tachista » (Construis des outils ! Construis des armes !)

Le menu confection
Très vite, Takkar sera plongé dans le bain. Pour survivre à la faune, il apprendra vite à construire un arc et des flèches. La confection prend tout son sens dans ce jeu.

En effet il est normal que vous n’ayez pas de gourdin, de flèches, de sagaie ou toute autre arme ou munitions de manière illimitée. Bien sûr dans les précédents épisodes, il y avait cette notion de munitions limitées, elle est d’ailleurs déjà présente dans tous les FPS, jusque-là donc rien d’anormal. La nouveauté réside plutôt dans le fait d’avoir des armes limitées comme la sagaie, le gourdin ou encore la fronde. Après tout c’est logique, utiliser sans cesse un gourdin peut le rendre plus fragile si bien qu’au bout d’un certain temps il se casse. Pareil pour la sagaie ou la fronde.

De plus comme Takkar peut aussi en lancer certaines, il est normal qu’il ne les ait plus dans « son inventaire ». Far Cry 2 avait déjà initié le concept avec l’enraiement des armes. Ici il est poussé un peu plus loin et ce n’est pas plus mal.

Même si cela permet de rendre le jeu plus réaliste, cela ne renforce par l’aspect survie pour autant. En effet pour confectionner tout ça, vous aurez besoin de ressources, que vous trouverez par dizaine autour de vous : bois d’aulne, roseaux, ardoise, silex, graisse animale (pour les enflammer), etc.

La vision de chasseur
Certes la flore est diversifiée et assez dense mais c’est réellement facile de trouver les matériaux nécessaires pour fabriquer tout ce qu’on veut exception faite peut être pour les peaux de bêtes dont certaines sont rares. Qui plus est, à un terme avancé du jeu, elles seront même indiquées sur la carte. Mais même sans ça vous pouvez utiliser l’instinct primitif de Takkar (touche R3) pour rendre visible les différents éléments qu’il est possible de ramasser.

Même s’il est aisé donc de trouver tel ou tel élément, toutes les armes et améliorations ne seront pas disponibles immédiatement. Takkar n’ayant pas la connaissance suffisante et nécessaire pour tout faire, il devra partir à la recherche de spécialistes afin de les rallier à sa cause. Ce n’est qu’une fois dans son village, qu’ils lui apprendront la manière d’améliorer et de renforcer ses armes.

Cette amélioration des armes passe toujours par le menu confection et nécessite bien entendu des ressources qui sont au fil des améliorations plus difficiles à trouver. Mais vous pouvez également optimiser vos accessoires comme par exemple la capacité de votre sac (il faut bien stocker les ressources ramassées), ou encore la taille de votre ceinture contenant vos bombes à piquants et autres pièges.

La roue de sélection
Ces mécaniques vous rappelleront sans doute le crafting instauré à partir de Far Cry 3 et c’est normal puisqu’on parle là de la même chose. Hormis donc les armes qui peuvent se casser, le reste est déjà-vu. On notera la petite exception faite pour l’arc qui lui est incassable. Vous devrez simplement faire de nouvelles flèches… avec du bois uniquement… (pas de pierre pour la pointe, pas de plumes pour l’autre extrémité).

La sélection des armes se fait toujours par une roue déclenchée avec . Vous pouvez ensuite utiliser le joystick pour choisir l’élément de votre choix. Si plusieurs armes sont disponibles vous devez utiliser les flèches directionnelles gauche et droite. C’est le cas par exemple de l’arc (arc normal ou arc long) mais aussi du gourdin (gourdin simple, gourdin sanglant de Shasti disponible dans l’édition collector et gourdin à deux mains déblocable en amélioration la hutte de Karoosh).

Pour le reste vous ne serez pas surpris d’apprendre que la touche et la touche à tirer. Avec s’accroupira et le bouton lui permettra de sauter. On reste sur des commandes classiques mais appropriées.

Ces spécialistes, en plus de vous apprendre à améliorer vos armes, vous permettront également d’acquérir de nouvelles capacités.

« U hawcha-su Takkar ! » (Apprends à Takkar !)

Les arbres de compétences
L’arbre de compétence fait ici son grand retour. Comme évoqué précédemment des spécialistes rallieront votre cause si vous prenez la peine d’aller les chercher et de les convaincre. De base Takkar possède des compétences liées à la survie mais vos alliés possèdent également un domaine propre. Ainsi Sayla vous apprendra la cueillette, Tensay la connaissance des bêtes, Jayma la chasse, Karoosh le combat et Wagoh la confection. A terme même vous pourrez apprendre des compétences de vos ennemis, les Udam et les Izila par le biais de leurs chefs respectifs, Ull et Batari.

Par ailleurs il est sans doute également probable qu’à l’époque les peuples se battaient à mains nues. Pourquoi ne pas avoir introduit ce concept dans le jeu avec un arbre de compétence supplémentaire ? Je trouve que c’est un peu dommage.

Vous devrez les débloquer à l’aide de points de compétences (jusqu’à 4 demandés pour une compétence). Vous gagnez 1 point tous les 1500 points d’expérience (ce chiffre augmente après un certain nombre de points de compétences gagnés). Là encore on reste sur du classique. Vous pourrez obtenir plus de santé, marcher plus vite en étant accroupi, confectionner plus d’objets, etc… Mise à part les compétences propres à l’apprivoisement d’animaux on est encore ici sur une formule classique. Mais bon après tout que faut-il changer pour améliorer ce point ? Je n’ai malheureusement pas la réponse…

La tribu des Wenja !
Toutefois ces experts ne vous apprendront pas immédiatement toutes les compétences. Hormis le fait qu’une compétence bloque la suivante si elle n’est pas apprise, vous devrez également rendre service à ces spécialistes pour faire apparaître les manquantes dans l’arbre. Rassurez-vous, il s’agit ni plus ni moins que de trouver des matériaux pour leur construire une hutte. Chaque hutte peut être améliorée deux fois au maximum. Le fait de les améliorer possède un second avantage : elles vous permettent de gagner plus de matériaux. En effet dans votre village, un sac contenant différentes ressources se réinitialise chaque jour (Far Cry Primal possède un cycle jour / nuit).

Ces améliorations vont de pair avec l’augmentation de la population du village. C’est un élément tout nouveau de ce Far Cry Primal. Plus de personnes vous rejoignent (jusqu’à 300) plus vous avez des bonus : plus de points d’expérience, plus de ressources, etc. C’est simple et efficace.

Mais ces évolutions de huttes ne sont pas sans rappeler l’évolution de la maison héritée par Ajay Ghale dans Far Cry 4 ainsi que les améliorations que vous pouviez faire pour votre refuge dans le contenu additionnel « La Vallée des Yétis ». On notera toutefois qu’Ubisoft a poussé le concept un poil plus loin sans pour autant le révolutionner.

Diverses activités vous permettront de faire grimper la population et l’aide de votre animal de compagnie ne vous sera pas de trop.

« Takkar, gwarpati ! Takkar damsha dichanta dantan ! » (Takkar, maître des bêtes ! Takkar dompter 100 dents-de-sabre !)

Une chouette comme compagnon
On arrive pour moi sur le deuxième gros point de Far Cry Primal (le premier était sans aucun doute le background avec la création du langage préhistorique) : l’apprivoisement d’animaux. Lorsque vous rencontrerez Tensay pour la première fois, il vous enseignera à apprivoiser une chouette mais aussi un loup blanc.

Lorsque vous faites appel à votre chouette, vous en prenez le contrôle. Vous pouvez ainsi regarder aux alentours si des ennemis rodent mais mieux encore vous pouvez les marquer. En aidant les divers experts de votre village vous serez même en mesure de lui débloquer de nouvelles compétences : attaquer les ennemis, lâcher des bombes à piquants, etc. C’est un élément fort utile pour prendre le contrôle des avant-postes ou des bûchers. Toutefois certaines actions bloqueront l’utilisation de votre chouette pendant un temps donné (qui peut être diminué en apprenant certaines compétences).

Si la chouette est le seul prédateur aérien que vous pouvez contrôler, la chose est différente pour les animaux terrestres. Vous pourrez tenter de dompter une quinzaine d’animaux allant du simple loup au puissant tigre à dents-de-sabre croc de sang. Initialement vous ne pouvez pas apprivoiser tous les animaux. Vous devrez apprendre certaines compétences de l’arbre de Tensay avant cela. Vous ne pouvez contrôler qu’un seul animal à la fois.

Un lion apprivoisé
Takkar vous dira même si vous pouvez dompter ou non un animal lorsque vous le croiserez. Quoiqu’il en soit le principe reste toujours le même, vous devez lancer un appât (un morceau de viande) pour attirer la bête puis vous en approchez en étant accroupi et enfin maintenir la touche . Dommage que selon le type d’animal et la rareté de celui-ci il n’y ait pas plus de challenges (comme une séquence de touches à réussir pour l’apprivoiser).

A noter qu’avoir un animal toujours avec vous, vous permettra de faire fuir bon nombre d’animaux.

Votre animal peut être blessé (même par vous) mais vous pouvez le soigner en lui donnant un morceau de viande. La quantité de santé regagnée dépend là aussi de vos compétences. S’il meurt vous pouvez le ranimer via le menu dédié (flèche directionnelle droite), ni plus ni moins. Si l’animal est en pleine santé, vous pouvez le caresser avec la même touche. Cette action ne sert à rien si ce n’est à immerger un peu plus le joueur.

Rassurez-vous une fois tous les animaux possibles apprivoisés, vous aurez de quoi vous occuper dans Far Cry.

Bien entendu si vous apprivoisez un animal, vous pourrez lui donner des ordres. Avec la flèche directionnelle maintenue, vous demandez à votre compagnon de revenir vers vous. Tandis que lorsque vous visez (touche ), vous pouvez appuyer sur en ciblant un ennemi (humain ou animal) pour lui ordonner d’attaquer.

Tous les animaux à apprivoiser possède une force, une vitesse et des points de discrétion. Cela permet entre autre de les comparer et de choisir le plus adapté à vos besoins.

« Wenja sakusha ! Wenja janhas Takkar-kwa sakwi Wenja ! » (Wenja amis ! Wenja famille et Takkar aider Wenja !)

La carte montre les quêtes
Les avant-postes font leur grand retour. Hormis le fait que vous y trouverez de bons matériaux, ils permettent d’effectuer des déplacements rapides une fois que vous en avez pris le contrôle. Cela évite de courir dans tous les sens pour rejoindre un lieu précis. En progressant plus vers l’histoire vous débloquerez les forts de vos deux rivaux principaux. Ce sont des forteresses plus difficiles à prendre que les avant-postes. Elles ont été introduites dans Far Cry 4.

Pour l’instant on reste sur la même mécanique que les précédents épisodes de la licence. Ubisoft a eu l’idée (ou pas) d’ajouter également des bûchers. Ils fonctionnent comme les avant-postes sauf que les ennemis qui les gardent sont moins nombreux. Une fois vos adversaires éliminés, vous devez brûler la pyramide de bois pour en prendre le contrôle. Vous pourrez par la suite vous y déplacer en mode « déplacement rapide ».

Toutefois si vous souhaitez vous déplacer vite, vous pouvez aussi chevaucher certains animaux comme les mammouths mais bon ce sera toujours moins rapide que de le faire par la carte. Tout dépend de l’endroit où vous souhaitez aller.

Débloquer d'autres quêtes
On retrouve également d’autres activités que les fans de la licence connaissent bien : porter secours à des Wenja, quête Choc Tribal, Mise à mort, aider des Wenja à rejoindre un lieu donné, etc. Elles ne portent pas le même nom mais sont plus ou moins similaires aux activités proposées auparavant.

A cela on ajoute les missions annexes contenues dans le pack de missions de l’édition collector données par Tensay. Ce shaman (si on peut appeler ça comme ça), vous fera boire une substance de son cru. Celle-ci vous transporter « dans un autre monde » où vous aurez un objectif bien précis. A l’instar des missions confiées par Dr. Alec Earnhardt dans Far Cry 3 ou les missions qui vous permettaient de parcourir les confins de Shangri-La dans Far Cry 4, vous évoluez dans un environnement que je qualifierai parfois « du grand n’importe quoi ».

En ligne droite il vous faudra entre 10 et 15 heures pour venir à bout de l’histoire principale. Comptez 5 à 10 heures de plus pour obtenir tous les trophées. Si vous êtes maniaque, vous pourrez également découvrir tous les lieux cachés, découvrir les lieux de prières, capturer tous les bûchers, apprivoiser tous les animaux possibles, etc. Dans Far Cry Primal, les activités secondaires ne sont pas ce qu’il manque.

On notera l’absence de mode multijoueur pour notre plus grand plaisir : si c’est pour ajouter un mode multijoueur totalement dénué de sens et inutile si ce n’est pour rallonger la durée de vie, autant ne pas en mettre.

« Urus kala ! U gwam-su Urus ! » (Oros joli ! Viens à Oros !)

Des décors superbes !
Qu’on se le dise, Far Cry Primal est magnifique. Les décors sont superbes et variés. Je n’ai jamais eu l’impression de me balader deux fois au même endroit. Le jour cycle/nuit permet d’ajouter une ambiance plus prenante. Les protagonistes et antagonistes sont parfaitement modélisés et le moins que l’on puisse dire est que certains ont de la gueule et particulièrement charismatiques.

Comme à l’accoutumée les thèmes de prédilection sont présents : violence, famille, démons, sexe (un petit peu).

Quelques détails comme votre animal de compagnie agonisant ou le sifflement de Takkar quand il appelle sa chouette nous place parfaitement dans l’ambiance. Comme toujours Ubisoft a fait un gros travail de fond sur le jeu. Tout est présent pour nous faire penser que nous sommes bien dans l’ère préhistorique.

J’ai particulièrement apprécié les ennemis qui se cachaient derrière des fougères ou des arbres pour mieux vous viser. Il arrive souvent qu’on ne sache pas d’où proviennent les tirs, renforçant l’idée d’intelligence de ces hommes préhistoriques.

Mais voilà à trop vouloir peaufiner les détails comme le langage, les graphismes, l’ambiance sonore et visuelle (de par les animations), le studio en a oublié le principal : proposer du renouveau dans sa licence…

« Shancha wakwas ! » (Fin histoire !)

Test de Far Cry Primal
On ne peut pas reprocher à Ubisoft d’avoir mené un travail de fond et abouti sur le background de son jeu. Le recrutement d’experts linguistique en passant par une direction artistique superbe, permet à Far Cry Primal de nous plonger immédiatement dans cette époque certainement mal connue par les joueurs. Mais à trop se perdre dans des détails, qui ont certes leur importance, Ubisoft en a oublié l’essentiel à savoir proposer des changements à sa licence qui commence à sentir le réchauffé, et de loin.

Bien entendu l’apprivoisement d’animaux et la confection d’armes est le genre de nouveautés que l’on peut saluer mais si l’on tient de l’aspect du jeu dans sa globalité, c’est un peu maigre.

Je ne sais pas quelle position adoptée, j’ai essayé de voir les bons côtés du jeu mais aussi d’être objectif. En tant que fan de la licence, je cesse de m’amuser passer les 5 heures de jeu tellement je retrouve les mêmes mécaniques que les précédents épisodes. Si vous n’avez pas touché aux précédents épisodes alors Far Cry Primal vous paraîtra original c’est certain et pas seulement pour les côtés positifs exposés.

Je garde vraiment un avis mitigé sur ce nouveau épisode et je ne suis pas certainement le mieux placé pour donner des idées au studio mais changer les décors, les noms des objets et l’histoire générale ne sera probablement pas une solution qui durera dans le temps.

Les plus :

  • Des décors superbes
  • Une bonne immersion dans l’univers préhistorique
  • Un langage inventé pour le jeu
  • L’apprivoisement des animaux
  • Les armes peuvent se casser
  • Des méchants charismatiques
  • Pas de mode multijoueur inutile

Les moins :

  • La survie quasi inexistante
  • La confection toujours de la partie
  • Encore des avant-postes
  • Les mêmes mécaniques que les autres épisodes
  • Apprivoiser un animal est un jeu d’enfant
15/20

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